Il y a trois stades de réaction au stress :
Phase d’alarme : Surpris par le stress, le niveau général de résistance de l’organisme s’abaisse
Phase de résistance : le niveau général de résistance de l’organisme s’élève pour faire face
Phase d’épuisement : s’il n’y a pas de réponse au stress (d’action), le niveau de résistance s’épuise !

Le stress (le bon ou le mauvais) déclenche chaque fois les mêmes mécanismes d’adaptation au niveau du cerveau (sécrétions hormonales et modifications biologiques responsables des différentes manifestations symptomatiques, fonctionnelles, organiques, bonnes ou mauvaises)

Quelques exemples de symptômes du stress (= alarmes naturelles de l’organisme, message de détresse du corps auxquels il faut être attentif!) :
fatigue
anxiété
nervosité
troubles du sommeil
troubles sexuels
troubles de la mémoire
perte d’enthousiasme, d’envie d’entreprendre
troubles digestifs (bouche sèche, spasmes, dysfonctionnement biliaire, ballonnements, diarrhée, gastrite, ulcère…)
troubles cutanés (eczéma, psoriasis, herpès, chute brutale cheveux, démangeaisons
troubles gynécologiques
troubles cardiovasculaires (gêne respiratoire, accélération battements cœur, douleur région cœur, extrasystoles, poussée de tension)
contractures musculaires
manifestations articulaires et rhumatismales (douleurs, périarthrite, arthrose…)…
Le stress est responsable de maladies graves ou de leur aggravation (il diminue nos défenses immunitaires) : maladies coronariennes, cancers, maladies des yeux…

Nathalie Devey